Introduction
Dans cet article nous illustrerons par des vignettes cliniques différents aspects du travail en cothérapie avec un animal domestique: de la facilitation du lien à des côtés plus spécifiques de la co-thérapie animale comme la création d’une zone proximale de développement ou encore la triangulation thérapeutique.
Avec nos co-thérapeutes à fourrure, nous suivons les pas de Boris Levinson. Dans les années 50, après une rencontre fortuite entre son chien et un jeune patient autiste, il fût le premier psychiatre à étudier l'intérêt de la présence d'animaux de compagnie en thérapie. Il théorise la « pet-oriented Child Psychothérapy » permettant des progrès interactionnels chez les enfants autistes, d’abord en direction de l’animal, puis de l’enfant vers le thérapeute. Depuis, de nombreux soignants et chercheurs ont exploré l’utilisation d’animaux comme médiateurs relationnels avec leurs patients. Ainsi, de nombreuses études en neurosciences valident aujourd’hui ces observations. Les dernières publications montrent une activation des processus attentionnels sociaux, une augmentation de l’implication émotionnelle et des capacités d’apprentissage grâce à des contacts répétés avec un chien co-thérapeute.
Jérémie est psychiatre, psychothérapeute, il travaille avec Gorgeous, un bulldog de 8 ans. Géraldine est hypnothérapeute, sexothérapeute et travaille avec 2 chats, Litchi et Moon. Formés à l’hypnose, à la Thérapie du Lien et des Mondes Relationnels (TLMR) et aux pratiques narratives, nous intégrons nos animaux comme des ressources supplémentaires au processus thérapeutique..
Facilitateur de lien et sécurisation
Nous avons tous observé dans la vie quotidienne combien les animaux domestiques facilitent l’entrée en relation des
humains. Considérés dans l’imaginaire collectif comme dénués d'intention négative et dépourvus de jugement ils ne
sauraient trahir ou abandonner. Au contraire, on les voit comme ayant toujours l’intention de vivre une relation authentique via le partage d’affects et l'accueil inconditionnel. L’animal laisse
ainsi la possibilité de se laisser aller à de l’affection sans « risque ». Perçu comme “innocent”, il crée un effet de contexte hors de l’espace problème, dans le monde de la vie et des
intentions positives partagées.
Ainsi, les patients voient souvent Gorgeous venir les accueillir les patients dans la salle d'attente en remuant la queue et en cherchant une caresse. ils se sentent reconnus, attendus, ils lui
parlent, la touchent. Elle va souvent faire naître une discussion entre les différents patients présents dans le cabinet. Avant même d’entrer dans le bureau de consultation, elle instaure un
climat propice au lien, et par effet mimétique, le thérapeute bénéficie du capital sympathie de son chien. Paradoxalement c’est grâce à son animal,
que le thérapeute est d’emblée perçu comme plus “humain”, plus abordable. Il est alors plus aisé au patient de lui prêter des
intentions positives.
Comme pour consolider ce lien, nos animaux s’appliquent régulièrement à un travail d’accordage sensoriel entre le patient et le thérapeute. On peut les observer quémander une caresse à l’un
puis à l’autre, ou encore soupirer et respirer sur le rythme du patient. Litchi est une ‘spécialiste’ de ce tissage relationnel, lorsqu’elle ne connaît pas le patient ou lorsque le travail
thérapeutique bloque, elle se tient sur la scène imaginaire, devant patient et thérapeute, qu’elle commence à regarder alternativement avec intensité, jusqu’à ce que leurs regards accrochent le
sien. Puis, elle passe d’un fauteuil à l’autre pour réclamer des caresses en ronronnant très fort.
Hormis les rires et l’échange qui naissent immanquablement de ces comportements surprenants, par leurs contacts, leurs regards, les animaux favorisent la sécrétion d'ocytocine. De facto, ils initient une sensation de sécurité et assouplissent le lien d’attachement chez le patient comme chez le thérapeute.
La pleine présence : revenir à la relation
Dans la façon dont nous pratiquons la cothérapie animale, il ne s’agit pas de dresser un animal à jouer un rôle, de l’instrumentaliser. Bien au contraire, la spontanéité des réactions de l’animal est importante et le thérapeute s’appuie dessus par principe utilisationnel. Par ses mouvements, ses sollicitations, l’animal ramène à ce qui se passe dans le présent et aide à accepter l’imprévu. Ce côté “non planifiable” permet le jeu créatif et favorise un processus plus intuitif. Lorsque patient et thérapeute commencent à rechercher des explications au Problème dans le monde des représentations mentales, l’animal empêche ce refuge dans le “parler sur”. Il contribue à focaliser sur le processus relationnel en cours.
Klara relève la tête vers le T, leurs regards se rencontrent et il tourne le regard vers la scène imaginaire en la désignant de la main)
T : Qu’est ce qui vient de diffèrent là maintenant, que ce soit image (en désignant la scène imaginaire sur le sol), pensée dans l’esprit (T désigne son front), sensation (T désigne son ventre) , action (T écarte légèrement sa main de son corps) ?
P : je vois pas d’image, mais sinon ici c’est plus détendu (désigne son thorax)
T : Ok, restez avec ça..(MA lents) . Si il y a avait une échelle de détente à l’intérieur, où 1 serait un petit peu, et 10 complétement remplie de détente ?
P: 4
T : restez avec ça (MA lents, rythmés par le bruit de Gorgeous qui est allée boire bruyamment à sa gamelle)
P : et en même temps il y a cette tension dans les oreilles (masse son articulation temporo mandibulaire, comme si j’avais tout le temps la mâchoire hyper tendue
T : une partie de vous reste avec la détente là pendant qu’une autre partie observe la tension ici (MA verticaux)
P : J’aimerai bailler mais c’est bloqué.
(Baille à moitié, Gorgeous revient de sa gamelle, s’immobilise à sa
place précédente et baille en tirant la langue très loin, puis s’étire en faisant la position de yoga dite du
« chien tête en bas, et s’affale à nouveau lourdement sur le côté, ses pattes comme encadrant notre scène imaginaire sur le parquet)
T : C’est comme si il avait envie de sortir ce bâillement, mais il y a quelque chose qui le coince un peu (Devant les mouvements de mâchoires de Klara pour s’aider à bailler, le T ne peut réprimer un bâillement et termine sa phrase dans un bâillement profond, masquant sa bouche par sa main tout en s’étirant. P. commence à s’étirer les bras, T. l’accompagne en miroir, puis tend ses jambes sur le fauteuil pour les étirer aussi, et là c’est P. qui l’imite. Dada allongée étire ses 4 pattes et cambre sa colonne vertébrale en tremblant, puis retombe lourdement avec une très profonde expiration, que le T. accompagne, et Klara à son tour. Relâchement général.
T : cet étirement il a quel effet ?
P : ça détend..
T : restez avec ça. (MA lents étroits)
Dans cette pleine présence, thérapeute et patient saisissent ce qui est proposé par l’animal. Ce dernier les aide à rester dans le processus, les accompagne et permet l’accordage. Dans ce mouvement, le thérapeute a la possibilité d’ouvrir avec le patient un espace de création métaphorique, d’hypnose utilisationnelle.
Fonction de protection
En TLMR comme en hypnose, il existe une variante de l’expérience sécure active qui se situe dans l’instant présent. Le sujet se connecte avec un détail dans chacun des 3 paysages (relation à Soi, au Monde, à l’Autre) pour se réassocier. Lorsque Jérémie propose cette expérience, Gorgeous est choisie dans près de 50% des cas pour répondre à la question « Observez autour de vous, un élément, couleur, objet qui est rassurant ou familier et qui en retour à un effet apaisant ou sécurisant » (rapport au Monde). Par exemple, Monique répond « Sa position étalée en dehors de son panier comme une montre molle de Dali, elle semble si tranquille ».
Il arrive aussi que l’animal soit choisi comme élément sécurisant dans le lien à l’Autre. Lucie se focalise sur la fourrure du chat et Anthony dit en parlant de Gorgeous « Son ronflement rappelle celui de mon père qui faisait la sieste sur le canapé le dimanche ». L’animal est à ce moment placé comme plus sécurisant que le thérapeute car il est relié à une personne ressource. Ces choix nous donnent des indices de là où nous en sommes dans notre relation avec le patient et sur son rapport à l’Autre-Humain d’une façon générale. Indices qui nous encouragent à continuer le tissage de la relation de confiance avec le patient.
Dans les situations d’abréaction, la présence d’un animal est une aide précieuse. Ces débordements émotionnels prennent leur source dans le sentiment qu'une expérience qui est de l’ordre de l’universel ne peut pas être partagée, que personne n’entendra notre souffrance.
Michele sanglote prostrée sur sa chaise en évoquant son fils disparu, Gorgeous sort de son panier, s’approche lentement d’elle et pose la tête sur son genou pour lui proposer une caresse. Michele passe un long moment à caresser ses oreilles délicatement et s’apaise.
Le thérapeute est devancé par son animal qui, sans avoir à demander l’autorisation pour intervenir, est accepté comme soutien. Il sort la patiente de son isolement et l’accompagne à transformer l’intensité de l’effet du vécu émotionnel en densité.
Stéphanie, 40 ans, en pleine chimio, ne peut plus se regarder, se toucher, être touchée. Moon monte sur le dossier du fauteuil, hume ses cheveux avec délice (une perruque de vrais cheveux), ronronne et lui lèche le front avec tendresse. Stéphanie est très touchée, le thérapeute aussi.
Ces interventions de l’animal ont une fonction similaire au témoignage en position de témoin extérieur en thérapie narrative: replacer la personne dans la communauté des humains.
A son tour, lorsque les effets des mondes relationnels traumatiques sont trop impactants, le thérapeute bénéficie du soutien de son animal. Ce dernier manifeste au thérapeute qu’il a perçu un trouble chez lui. Son champ de perception très sensible et sa parfaite connaissance de son “collègue de travail” lui permettent d’intervenir parfois avant même que ce dernier prenne conscience du malaise chez lui.
Sophia entre dans une transe négative, totalement absorbée par le monde traumatique dans lequel elle est plongée et décrit avec véhémence des événements terribles, sans plus porter d’attention à la présence du thérapeute et à ses tentatives de la ramener à la relation. Gorgeous vient vers le thérapeute tandis que celui-ci impacte les effets de la dissociation. Grâce à l’intervention de son co-thérapeute animal, le thérapeute s’autorise à reculer un peu et baisse son fauteuil au maximum pour pouvoir être plus en contact avec elle et la caresser.
Lorsque le thérapeute reçoit l’aide de son animal et prend un temps pour se réassocier, il sort de l’emprise du monde traumatique de son patient. Si cette action est en premier lieu tournée vers sa préservation, le thérapeute se pose ici comme être humain. Il sort des représentations du “thérapeute capable de tout recevoir, tout absorber, à qui on peut tout dire”: il agit comme modèle pour son patient.
Zone de développement proximale
Pendant le travail thérapeutique, les caresses prodiguées par la personne à l’animal, lui permettent de se reconnecter avec des expériences sensorielles précoces. Expériences dans lesquelles, comme chaque enfant, elle a pu prendre plaisir à fouiller la fourrure d’un animal. Cela vient créer un pont affectif avec des partages relationnels précoces épargnés par le problème. Erickson utilisait ce même processus en accompagnant ses patients en hypnose profonde dans la reviviscence d'apprentissages précoces (marche, vélo...) en relation avec une personne ressource. Au contact de l’animal, en se reconnectant à des expériences sécures, le patient se réassocie et perçoit ou retrouve la possibilité de la
confiance dans la relation humaine. Le champ peut s’ouvrir vers des modes d’attachement plus sécures.
Lorsque les personnes sont coincées dans un monde traumatique où la relation à l’autre est synonyme de souffrance et où toute initiative d’entrée en lien semble dangereuse, les premiers
changements de posture chez le sujet s'observent souvent autour de prises d’initiatives envers l’animal: caresses, mot de bienvenu, confidence.
Mathilde qui a presque 40 ans et se présente comme une toute petite fille craintive, demandant à être rassurée en permanence, prend un rôle très maternant avec les chats.
Ce changement de posture est alors travaillé comme une “exception au symptôme” pouvant commencer à bâtir une histoire
alternative.
Là où initialement le fossé induit par l’histoire dominante peut rendre impossible la proximité humaine, ces expériences avec l’animal servent de première étape à l’accordage corporel. Elles
ouvrent vers une possibilité pour le thérapeute d’amener un toucher sécure tel qu’on le pratique en TLMR.
Dans le sens où le contact avec l’animal permet, à travers la relation instaurée avec le monde du vivant, de faire de nouveaux apprentissages, Lev Vygotsky y aurait vu une zone proximale de développement. En effet, la personne franchit un obstacle qu’il lui aurait été difficile de franchir sans l’intermédiaire de l’animal pour l’accompagner.
Recadrage indirect
S’adresser à l’animal lorsqu’il y a des obstacles à l’interaction avec le patient est un recadrage afin d’ouvrir la porte à un
véritable dialogue.
Dominique Megglé appele ce type de recadrage indirect “faire la « pomponette »”, en réference à “la femme du boulanger” de Marcel Pagnol.
Gilles perçoit l'extérieur comme une agression, il parle sans laisser le moindre espace à une question et utilise les mots comme une lance à incendie pour maintenir le thérapeute à distance de peur d’être attaqué par une question ou une parole. À cet instant le thérapeute s’adresse à Gorgeous: « Est-ce que tu crois que ce débit verbal c’est une manière de se protéger et qu’il faut y voir le signe que le Monsieur ne sent pas assez en sécurité pour l’instant avec nous? » .
Le fait de s’adresser à l’animal permet la confusion, la surprise. Cette rupture de pattern, faite dans l’intention de créer une relation avec le patient, est bien connue pour son effet d’induction hypnotique immédiat. Il est alors plus facile au thérapeute d’amorcer le tissage du lien en partant de ce qui vient de se produire et des effets perçus dans la relation.
Triangulation
La triangulation peut consister à prendre appui sur les processus de projection, d’identification partielle à l’animal, particulièrement fréquents chez les enfants. Il est parfois plus facile de prêter à l’animal des intentions, pensées et sentiments que de pouvoir partager son propre vécu interne. On peut alors parler d’un travail indirect favorisant la sécurisation du processus thérapeutique en évitant une approche identitaire. Ainsi, le thérapeute triangule en utilisant l’animal comme troisième point afin de faciliter l’accordage relationnel. Il lui parle, lui pose des questions ou questionne le patient sur ce qu’il perçoit chez l’animal. Cette manière de travailler permet également de dépasser l’effet dissociatif généré par les mondes relationnels dysfonctionnels qui empêchent la relation. Patient et thérapeute, par le biais de l’animal, se réassocient, et peuvent mieux percevoir leurs intentions positives réciproques.
Litchi, moon et moi recevons Pierre, 8 ans, avec son frère Marcel, 10 ans, et leurs parents. Je ne
connais pas Marcel, je suis habituellement Pierre qui souffre d’un syndrome d’Asperger. La consultation est demandée par les parents qui ont du mal à gérer les conflits entre les garçons.
Pendant l’échange de prise de contact, Litchi réclame à aller faire ses besoins. Pierre l’accompagne dans la pièce à côté et je continue à faire connaissance avec Marcel qui exprime un grand
sentiment d’injustice par rapport à la place et aux « avantages » dont bénéficie son frère. Au retour de Litchi et Pierre :
« Je suis bien embêtée avec Litchi et Moon, j’aurais besoin de vos conseils. (je m’adresse à toute la famille) Litchi est très propre mais Moon fait des fois ses besoins à côté de la caisse.
Je la récompense lorsqu’elle est propre mais je me dis que ce n’est pas très juste pour Litchi qui elle est toujours propre et que je ne récompense pas. Comment pourrais-je faire pour être la
plus juste possible ? »
L’échange qui a suivi nous a permis de travailler la valeur blessée de Marcel et de remettre le dialogue dans la famille
En TLMR comme en Thérapie Narrative, la triangulation passe par la scène imaginaire, espace métaphorique de co-création partagé par le patient et le thérapeute. Ils hallucinent ensemble, au sol, une mise en scène de la problématique du patient ainsi externalisée. Lorsqu’on travaille avec des animaux, cette scène devient encore plus vivante et inattendue.
Louis, 10 ans, arrive avec son doudou et parle comme un tout petit. Il consulte pour ses manifestations de colère qui posent des problèmes à la maison et à l’école. Il a déjà été consulté par 2 psychologues. Après un questionnement externalisant partagé avec Christelle, la mère épuisée de Louis, le problème est mis en scène sous la forme de Venom (personnage marvel incarnant la dissociation bien/mal)). Au même moment, Litchi et Moon commencent à se chercher, à se bagarrer devant nous. Avec Louis, on commente la scène, comme un match de boxe. Ensemble, nous faisons parler les chats et leur prêtons des intentions.
Th- tiens, on dirait qu’il y a les deux parties de Venom: le cool et celui qui dévore là, tu
trouves pas ?
L- si ! Là, c’est Louis (il montre Litchi qui est en train de terrasser Moon)
Th- Venom est en train de se redresser, est-ce qu’il va partir ? Est-ce que Louis va réussir à le
faire partir ? Hummm Venom insiste quand même “mais si, vas-y, crie, insulte, vas-y, c’est bien !!!!!!”
Louis ri et sa maman est très intéressée par ce qui se déroule
Th-...ha Louis va tomber....Venom a le dessus pour le moment, je suis curieuse de voir comment ça va se finir.....oulala, une attaque de Venom !!!! Vous voyez comme Venom agit !!! Vous le voyez Christelle ? Sans arrêt il vient chercher Louis et sans arrêt, il est sournois avec ses “ mais si, vas-y !!!” Louis se défend, ça lui demande beaucoup d’énergie pour contrôler Venom.
La maman acquiesce.
M-oui, il nous l’explique
L- ha la vache, il fait des attaques surprises, des prises de judo
Th- c’est un combat acharné, toute la journée....il va falloir qu’on l’aide à ton avis ?
Cette mise en scène de la problématique de Louis a permis d’une part l’engagement de louis dans la thérapie et d’autre part de sortir du “Louis est la colère qui déstabilise toute la famille”. Par la suite, toujours à l’aide des chats, nous avons pu inclure toute la famille, restaurer le soutien mutuel dans le couple parental et l’autorité paternelle auparavant défaillante.
CONCLUSION
Dans de nombreuses situations cliniques, le travail avec un cothérapeute animal est un soutien précieux. Il existe bien sur une
dimension de ronronthérapie ou câlinothérapie qui peut avoir des effets bénéfiques par la sécrétion d’ocytocine qu’elle induit,
Mais au-delà de ça, un thérapeute attentif aux processus relationnels et disposé à accueillir et utiliser l'imprévu qui s’invite dans ses consultations sera tirer le meilleur parti de ce
travail collaboratif, dans l'intérêt de ses patients ainsi qu’en prévention de l’épuisement professionnel.
Eric Bardot, virginie Bardot, Stéphane Roy (2022), « De l’htsma à la Thérapie du Lien et des Mondes Relationnels », Bruxelle, ed SATAS
Daniel Stern (2003), « Le moment présent en psychothérapie », paris , ed Odile Jacob Mickael White, David Epson, « Les moyens narratifs au service de la thérapie », ed
le germe SATAS, Bruxelle, 2003
Y. Doutrelune, Julien Betbèze, Vera Likaj, Isabelle Barrois, Olivier Cottenson, «
thérapies brèves plurielles » Ed Masson, Paris, 2019
Virginie Bardot, Eric Bardot, Stéphane Roy, Géraldine Garon, Solen Montanari, Pierre Pétillot, Tristan Delaage, Etienne Maunoury, Michel Lamarlère, Séverine Filho, Antoine Ravilly, 2023, « récit de thérapeute, 15 illustrations cliniques et pratiques en TLMR », Bruxelle, ed Satas (à paraître en mars 2023)
(rahel Marti, effets du contact avec un chien sur l’activité cérébrale préfrontale, 2022) L. Vigotski, « Pensée et langage», Ed Broché, Paris, 2003